Paroisse St Pierre en Pays Roussillonnais diocèse de GRENOBLE VIENNE (38)

Marche des Rameaux

Ce samedi 12 avril 2025, à Salaise sur Sanne, une trentaine d’adultes des paroisses St Pierre et Notre Dame s’étaient donnés rendez-vous pour une marche autour de Salaise Sur Sanne avec les jeunes de la catéchèse, de l’aumônerie, des écoles. Ce qui formait un groupe d’une soixantaine de personnes toute génération confondue qui s’est mis en marche derrière la croix.

En chemin, nous nous sommes émerveillés de la nature, nous avons admirer la création avec le cantique des créatures de Saint François d’Assise.

Puis nous nous sommes rendus au prieuré datant du XI ème siècle. Grâce à Mr Valette, nous avons pu visiter le chœur, la crypte de l’ancienne église, le jardin médicinal, classés au titre des Monuments historiques…

Ensuite nous avons repris le chemin, passé sur le pont aux moines, le plus vieux pont de la commune, qui permettait aux moines du prieuré de franchir la Sanne à pied. Là, nous avons prié avec les saints patrons des écoles, des villages des 2 paroisses.

Notre marche a permis de découvrir ou redécouvrir les croix des missions (1889), érigée en souvenir d’une mission, c’est-à-dire une retraite spirituelle. Elles ont connu un essor après la révolution car l’église souhaitait restaurer la pratique religieuse et raviver la foi des fidèles. A cette occasion, nous avons, par le chant, acclamez Jésus, en ce jour des Rameaux : « Voici celui qui vient au nom du Seigneur. Acclamons notre roi, hosannah ! »

Avant de prendre le repas pique-nique, nous avons prié avec l’Angélus.

L’après-midi s’est déroulée avec des ateliers intérieurs et extérieurs, la croix s’est fleurie magnifiquement. Avec l’éveil à la foi, c’est tous ensemble que nous avons participé à la messe des Rameaux dans l’église de Salaise où d’autres membres de la communauté nous ont rejoints.

Tout le monde est reparti, enchanté de cette journée ensoleillée.

Nous souhaitons à tous de bonnes fêtes pascales.

Marie-Reine pour l’équipe de préparation, le 15 avril

Vendredi Saint – Célébration de La Passion du Seigneur

Vendredi 18 avril 2025

"Le Christ s'est anéanti, prenant la condition de serviteur"

En ce temps-là, après le repas, Jésus sortit avec ses disciples et traversa le torrent du Cédron ; il y avait là un jardin, dans lequel il entra avec ses disciples. Judas, qui le livrait, connaissait l’endroit, lui aussi, car Jésus et ses disciples s’y étaient souvent réunis. Judas, avec un détachement de soldats ainsi que des gardes envoyés par les grands prêtres et les pharisiens, arrive à cet endroit. Ils avaient des lanternes, des torches et des armes. Alors Jésus, sachant tout ce qui allait lui arriver, s’avança et leur dit : « Qui cherchez-vous? » Ils lui répondirent : « Jésus le Nazaréen. » Il leur dit : « C’est moi, je le suis. » Judas, qui le livrait, se tenait avec eux. Quand Jésus leur répondit : « C’est moi, je le suis », ils reculèrent, et ils tombèrent à terre. Il leur demanda de nouveau : « Qui cherchez-vous? » Ils dirent : « Jésus le Nazaréen. » Jésus répondit : « Je vous l’ai dit : c’est moi, je le suis. Si c’est bien moi que vous cherchez, ceux-là, laissez-les partir. » Ainsi s’accomplissait la parole qu’il avait dite : « Je n’ai perdu aucun de ceux que tu m’as donnés. » Or Simon-Pierre avait une épée ; il la tira, frappa le serviteur du grand prêtre et lui coupa l’oreille droite. Le nom de ce serviteur était Malcus. Jésus dit à Pierre : « Remets ton épée au fourreau. La coupe que m’a donnée le Père, vais-je refuser de la boire ? » Alors la troupe, le commandant et les gardes juifs se saisirent de Jésus et le ligotèrent.
Ils l’emmenèrent d’abord chez Hanne, beau-père de Caïphe, qui était grand prêtre cette année-là. Caïphe était celui qui avait donné aux Juifs ce conseil : « Il vaut mieux qu’un seul homme meure pour le peuple. » Or Simon-Pierre, ainsi qu’un autre disciple, suivait Jésus. Comme ce disciple était connu du grand prêtre, il entra avec Jésus dans le palais du grand prêtre. Pierre se tenait près de la porte, dehors. Alors l’autre disciple – celui qui était connu du grand prêtre – sortit, dit un mot à la servante qui gardait la porte, et fit entrer Pierre. Cette jeune servante dit alors à Pierre : « N’es-tu pas, toi aussi, l’un des disciples de cet homme ? » Il répondit : « Non, je ne le suis pas ! » Les serviteurs et les gardes se tenaient là ; comme il faisait froid, ils avaient fait un feu de braise pour se réchauffer. Pierre était avec eux, en train de se chauffer. Le grand prêtre interrogea Jésus sur ses disciples et sur son enseignement. Jésus lui répondit : « Moi, j’ai parlé au monde ouvertement. J’ai toujours enseigné à la synagogue et dans le Temple, là où tous les Juifs se réunissent, et je n’ai jamais parlé en cachette. Pourquoi m’interroges-tu ? Ce que je leur ai dit, demande-le à ceux qui m’ont entendu. Eux savent ce que j’ai dit. » À ces mots, un des gardes, qui était à côté de Jésus, lui donna une gifle en disant : « C’est ainsi que tu réponds au grand prêtre ! » Jésus lui répliqua : « Si j’ai mal parlé, montre ce que j’ai dit de mal. Mais si j’ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu ? » Hanne l’envoya, toujours ligoté, au grand prêtre Caïphe.
Simon-Pierre était donc en train de se chauffer. On lui dit : « N’es-tu pas, toi aussi, l’un de ses disciples ? » Pierre le nia et dit : « Non, je ne le suis pas ! » Un des serviteurs du grand prêtre, parent de celui à qui Pierre avait coupé l’oreille, insista : « Est-ce que moi, je ne t’ai pas vu dans le jardin avec lui ? » Encore une fois, Pierre le nia. Et aussitôt un coq chanta.
Alors on emmène Jésus de chez Caïphe au Prétoire. C’était le matin. Ceux qui l’avaient amené n’entrèrent pas dans le Prétoire, pour éviter une souillure et pouvoir manger l’agneau pascal. Pilate sortit donc à leur rencontre et demanda : « Quelle accusation portez-vous contre cet homme ? » Ils lui répondirent : « S’il n’était pas un malfaiteur, nous ne t’aurions pas livré cet homme. » Pilate leur dit : « Prenez-le vous-mêmes et jugez-le suivant votre loi. » Les Juifs lui dirent : « Nous n’avons pas le droit de mettre quelqu’un à mort. » Ainsi s’accomplissait la parole que Jésus avait dite pour signifier de quel genre de mort il allait mourir. Alors Pilate rentra dans le Prétoire ; il appela Jésus et lui dit : « Es-tu le roi des Juifs ? » Jésus lui demanda : « Dis-tu cela de toi-même, Ou bien d’autres te l’ont dit à mon sujet ? » Pilate répondit : « Est-ce que je suis juif, moi ? Ta nation et les grands prêtres t’ont livré à moi : qu’as-tu donc fait ? » Jésus déclara : X « Ma royauté n’est pas de ce monde ; si ma royauté était de ce monde, j’aurais des gardes qui se seraient battus pour que je ne sois pas livré aux Juifs. En fait, ma royauté n’est pas d’ici. » Pilate lui dit : « Alors, tu es roi ? » Jésus répondit : « C’est toi-même qui dis que je suis roi. Moi, je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci : rendre témoignage à la vérité. Quiconque appartient à la vérité écoute ma voix. » Pilate lui dit : « Qu’est-ce que la vérité ? »
Ayant dit cela, il sortit de nouveau à la rencontre des Juifs, et il leur déclara : « Moi, je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. Mais, chez vous, c’est la coutume que je vous relâche quelqu’un pour la Pâque : voulez-vous donc que je vous relâche le roi des Juifs ? » Alors ils répliquèrent en criant : « Pas lui ! Mais Barabbas ! » Or ce Barabbas était un bandit. Alors Pilate fit saisir Jésus pour qu’il soit flagellé. Les soldats tressèrent avec des épines une couronne qu’ils lui posèrent sur la tête ; puis ils le revêtirent d’un manteau pourpre. Ils s’avançaient vers lui et ils disaient : « Salut à toi, roi des Juifs ! » Et ils le giflaient. Pilate, de nouveau, sortit dehors et leur dit : « Voyez, je vous l’amène dehors pour que vous sachiez que je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. » Jésus donc sortit dehors, portant la couronne d’épines et le manteau pourpre. Et Pilate leur déclara : « Voici l’homme. » Quand ils le virent, les grands prêtres et les gardes se mirent à crier : « Crucifie-le! Crucifie-le! » Pilate leur dit : « Prenez-le vous-mêmes, et crucifiez-le ; moi, je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. » Ils lui répondirent : « Nous avons une Loi, et suivant la Loi il doit mourir, parce qu’il s’est fait Fils de Dieu. » Quand Pilate entendit ces paroles, il redoubla de crainte. Il rentra dans le Prétoire, et dit à Jésus : « D’où es-tu? » Jésus ne lui fit aucune réponse. Pilate lui dit alors : « Tu refuses de me parler, à moi ? Ne sais-tu pas que j’ai pouvoir de te relâcher, et pouvoir de te crucifier ? » Jésus répondit : « Tu n’aurais aucun pouvoir sur moi si tu ne l’avais reçu d’en haut ; c’est pourquoi celui qui m’a livré à toi porte un péché plus grand. »  Dès lors, Pilate cherchait à le relâcher ; mais des Juifs se mirent à crier : « Si tu le relâches, tu n’es pas un ami de l’empereur. Quiconque se fait roi s’oppose à l’empereur. » En entendant ces paroles, Pilate amena Jésus au-dehors; il le fit asseoir sur une estrade au lieu dit le Dallage – en hébreu : Gabbatha. C’était le jour de la Préparation de la Pâque, vers la sixième heure, environ midi. Pilate dit aux Juifs : « Voici votre roi. » Alors ils crièrent : « À mort ! À mort ! Crucifie-le ! » Pilate leur dit : « Vais-je crucifier votre roi ? » Les grands prêtres répondirent : « Nous n’avons pas d’autre roi que l’empereur. » Alors, il leur livra Jésus pour qu’il soit crucifié.
Ils se saisirent de Jésus. Et lui-même, portant sa croix, sortit en direction du lieu dit Le Crâne (ou Calvaire), qui se dit en hébreu Golgotha. C’est là qu’ils le crucifièrent, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu. Pilate avait rédigé un écriteau qu’il fit placer sur la croix ; il était écrit : « Jésus le Nazaréen, roi des Juifs. » Beaucoup de Juifs lurent cet écriteau, parce que l’endroit où l’on avait crucifié Jésus était proche de la ville, et que c’était écrit en hébreu, en latin et en grec. Alors les grands prêtres des Juifs dirent à Pilate : « N’écris pas : “Roi des Juifs” ; mais : “Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs.” » Pilate répondit : « Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit. » Quand les soldats eurent crucifié Jésus, ils prirent ses habits ; ils en firent quatre parts, une pour chaque soldat. Ils prirent aussi la tunique ; c’était une tunique sans couture, tissée tout d’une pièce de haut en bas. Alors ils se dirent entre eux : « Ne la déchirons pas, désignons par le sort celui qui l’aura. » Ainsi s’accomplissait la parole de l’Écriture : Ils se sont partagé mes habits ; ils ont tiré au sort mon vêtement. C’est bien ce que firent les soldats.
Or, près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine. Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. » Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui. Après cela, sachant que tout, désormais, était achevé pour que l’Écriture s’accomplisse jusqu’au bout, Jésus dit : « J’ai soif. » Il y avait là un récipient plein d’une boisson vinaigrée. On fixa donc une éponge remplie de ce vinaigre à une branche d’hysope, et on l’approcha de sa bouche. Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : « Tout est accompli. » Puis, inclinant la tête, il remit l’esprit.
Comme c’était le jour de la Préparation (c’est-à-dire le vendredi), il ne fallait pas laisser les corps en croix durant le sabbat, d’autant plus que ce sabbat était le grand jour de la Pâque. Aussi les Juifs demandèrent à Pilate qu’on enlève les corps après leur avoir brisé les jambes. Les soldats allèrent donc briser les jambes du premier, puis de l’autre homme crucifié avec Jésus. Quand ils arrivèrent à Jésus, voyant qu’il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes, mais un des soldats avec sa lance lui perça le côté ; et aussitôt, il en sortit du sang et de l’eau. Celui qui a vu rend témoignage, et son témoignage est véridique ; et celui-là sait qu’il dit vrai afin que vous aussi, vous croyiez. Cela, en effet, arriva pour que s’accomplisse l’Écriture : Aucun de ses os ne sera brisé. Un autre passage de l’Écriture dit encore : Ils lèveront les yeux vers celui qu’ils ont transpercé.
Après cela, Joseph d’Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate de pouvoir enlever le corps de Jésus. Et Pilate le permit. Joseph vint donc enlever le corps de Jésus. Nicodème – celui qui, au début, était venu trouver Jésus pendant la nuit – vint lui aussi ; il apportait un mélange de myrrhe et d’aloès pesant environ cent livres. Ils prirent donc le corps de Jésus, qu’ils lièrent de linges, en employant les aromates selon la coutume juive d’ensevelir les morts. À l’endroit où Jésus avait été crucifié, il y avait un jardin et, dans ce jardin, un tombeau neuf dans lequel on n’avait encore déposé personne. À cause de la Préparation de la Pâque juive, et comme ce tombeau était proche, c’est là qu’ils déposèrent Jésus.

Jn 18, 1-19, 42

Les lectures du jour

 

Jeudi Saint – « En mémoire de la Cène du Seigneur »

Jeudi 17 avril 2025

"Il les aima jusqu'au bout"

Avant la fête de la Pâque, sachant que l’heure était venue pour lui de passer de ce monde à son Père, Jésus, ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’au bout.
Au cours du repas, alors que le diable a déjà mis dans le cœur de Judas, fils de Simon l’Iscariote, l’intention de le livrer, Jésus, sachant que le Père a tout remis entre ses mains, qu’il est sorti de Dieu et qu’il s’en va vers Dieu, se lève de table, dépose son vêtement, et prend un linge qu’il se noue à la ceinture ; puis il verse de l’eau dans un bassin. Alors il se mit à laver les pieds des disciples et à les essuyer avec le linge qu’il avait à la ceinture.
Il arrive donc à Simon-Pierre, qui lui dit : « C’est toi, Seigneur, qui me laves les pieds ? » Jésus lui répondit : « Ce que je veux faire, tu ne le sais pas maintenant ; plus tard tu comprendras. » Pierre lui dit : « Tu ne me laveras pas les pieds ; non, jamais ! » Jésus lui répondit : « Si je ne te lave pas, tu n’auras pas de part avec moi. » Simon-Pierre lui dit : « Alors, Seigneur, pas seulement les pieds, mais aussi les mains et la tête ! » Jésus lui dit : « Quand on vient de prendre un bain, on n’a pas besoin de se laver, sinon les pieds : on est pur tout entier. Vous-mêmes, vous êtes purs, mais non pas tous. » Il savait bien qui allait le livrer ; et c’est pourquoi il disait : « Vous n’êtes pas tous purs. »
Quand il leur eut lavé les pieds, il reprit son vêtement, se remit à table et leur dit : « Comprenez-vous ce que je viens de faire pour vous ? Vous m’appelez “Maître” et “Seigneur”, et vous avez raison, car vraiment je le suis. Si donc moi, le Seigneur et le Maître, je vous ai lavé les pieds, vous aussi, vous devez vous laver les pieds les uns aux autres. C’est un exemple que je vous ai donné afin que vous fassiez, vous aussi, comme j’ai fait pour vous. »

Jn 13, 1-15

Les lectures du jour

 

Homélie du Père Armand pour le Jeudi Saint
  
Télécharger le fichier
 
 

Curé des Paroisse St Pierre en Pays Roussillonnais et Notre Dame des sources en Sanne Dolon

Pour évoquer le repas du Seigneur, le repas pascal de la nouvelle alliance, la liturgie du jour a dû recourir à la première lettre de St Paul aux Corinthiens, car St Jean ne relate pas le récit de l’institution de l’eucharistie mais bien le geste du lavement des pieds où Jésus sachant que l’heure était venue pour lui de passer de ce monde à son père, se fit le serviteur de tous…
Illustrant en un geste prophétique et fort le sens de toute vie.
Il était venu en effet, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie…
Jésus se lève de table et se met à laver les pieds des disciples ….
Pierre proteste ; ce n’est pas ainsi qu’il imaginait le Messie, le maître.
Jésus doit lui dire : Pierre, Pierre, laisse faire, plus tard tu comprendras.
Un peu plus loin, il s’adressera aux disciples : comprenez-vous ce que je viens de faire ? La même question nous est adressée à nous, disciples d’aujourd’hui.
Un enseignement nous est donné, la même invitation nous est faite…
Si donc moi, le Seigneur et le maître, je vous ai lavé les pieds, vous aussi vous devez vous laver les pieds…
C’est un exemple que je vous ai donné, voilà mon testament.
L’amour et service de l’humanité sont signes de l’Église servante. L’Église fait l’eucharistie « Vous ferez cela en mémoire de moi » Quand elle se rassemble comme corps du Christ…
L’eucharistie fait l’Église, car elle nous met en communion avec celui qui a livré sa vie en aimant jusqu’au bout et nous envoie pour servir comme lui nos frères et sœurs en humanité.
Au fond, c’est l’amour qui est la de la vie source et le sommet chrétienne. En prenant le repas de l’amour, nous allons à la source de la vie chrétienne et nous acquiesçons à la volonté du Seigneur : En mémoire de moi, aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés.

Père Armand Silaho Moudilou curé

Dimanche des Rameaux et de La Passion

Dimanche 13 avril 2025

"Le chemin de la gloire"

En ce temps-là, Jésus partit en avant pour monter à Jérusalem. Lorsqu’il approcha de Bethphagé et de Béthanie, près de l’endroit appelé mont des Oliviers, il envoya deux de ses disciples, en disant : « Allez à ce village d’en face. À l’entrée, vous trouverez un petit âne attaché, sur lequel personne ne s’est encore assis. Détachez-le et amenez-le. Si l’on vous demande : ‘Pourquoi le détachez-vous ?’ vous répondrez : ‘Parce que le Seigneur en a besoin.’ »
Les envoyés partirent et trouvèrent tout comme Jésus leur avait dit. Alors qu’ils détachaient le petit âne, ses maîtres leur demandèrent : « Pourquoi détachez-vous l’âne ? » Ils répondirent : « Parce que le Seigneur en a besoin. » Ils amenèrent l’âne auprès de Jésus, jetèrent leurs manteaux dessus, et y firent monter Jésus.
À mesure que Jésus avançait, les gens étendaient leurs manteaux sur le chemin. Alors que déjà Jésus approchait de la descente du mont des Oliviers, toute la foule des disciples, remplie de joie, se mit à louer Dieu à pleine voix pour tous les miracles qu’ils avaient vus, et ils disaient : « Béni soit celui qui vient, le Roi, au nom du Seigneur. Paix dans le ciel et gloire au plus haut des cieux ! » Quelques pharisiens, qui se trouvaient dans la foule, dirent à Jésus : « Maître, réprimande tes disciples ! » Mais il prit la parole en disant : « Je vous le dis : si eux se taisent, les pierres crieront. »   

Lc 19, 28-40

Les lectures du jour

Sur la paroisse :

Sur France 2 télévision le dimanche : 
  • 11h00  Messe  Le Jour du Seigneur

Sur KTO tous les jours (Liens Internet, Les Média chrétiens, KTO TV) :

  • à 10h00, Messe à la grotte de Lourdes.
  • à 18h15, Messe à Saint-Germain-l’Auxerrois.

Télécharger le fichier ICI

La Semaine Sainte au Carmel de Surieu

Notre paroisse

capture-decran-2019-11-06-a-11-41-25

Informations de la Paroisse

Informations avril 2025

5 avril 2025

Pour accéder à la feuille des informations paroissiales de avril 2025 …

  Télécharger le fichier

Les sacrements

Tout au long de votre vie, recevez les sacrements de Dieu

Prochains rendez-vous

Aucun événement n'a été trouvé

sam

17

Mai

Retraite de communion

La journée de retraite de communion se tiendra le samedi 17 Mai 2025, aux Cités de Roussillon. 


dim

01

Juin

1ère Communion

La 1ère communion se fera le dimanche 1er juin 2025.

Plus d’informations seront données en temps utile


sam

14

Juin

Temps fort fin d'année de KT

Le temps fort de fin d’année de catéchèse se tiendra le samedi 14 juin 2025, de 15h30 à 18h avec participation à la messe de 18h, à la salle Notre Dame des Cités


sam

14

Juin

Messe des Cités avec la catéchèse

Pour la fin d’année scolaire, en action de grâce, la catéchèse participera à la messe de 18h du samedi 14 juin 2025, en l’église Notre Dame des Cités


tous les rendez-vous

Restez informés : Inscrivez-vous

En indiquant votre adresse email vous consentez à recevoir nos lettres par voie électronique. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment et via les liens de désinscription.

Facebook du Diocèse

Certificat de baptême

Vous avez été baptisé dans cette paroisse, alors vous pouvez nous demander votre certificat de baptême en remplissant le formulaire.

Cliquez ici

Organiser un événement !

Vous organisez une conférence, une rencontre, un concert...et vous souhaitez occuper un lieu de la paroisse (salle, église, chapelle...), alors merci de remplir ce formulaire de contact.

Cliquez ici